Les gares sont les portes des voyages, on s’y sépare, on s’y retrouve, on s’y embrasse.
Un homme-centaure arrive à la gare de Marseille. Pressé, en retard, il regarde les panneaux d’affichage. Une femme-centaure, valise en main, courre sur le quai et le rejoint.
Production Théâtre du Centaure